© Das Rheingold - Gábor Bretz - Marie Nicole Lemieux © Monika Rittershaus - La Monnaie

 

  • « Das Rheingold » à la Monnaie: L’or pur de Castellucci.
    Très attendu sur cette nouvelle production de « Das Rheingold », prologue du « Ring der Nibelungen » programmée en deux saisons à la Monnaie, le metteur en scène Romeo Castellucci a réussi son pari. Il sert le propos de Wagner – le pouvoir, qu’il soit matériel ou spirituel, corrompt – tout en soulignant la théâtralité avec une bien belle habileté. Tantôt séduisante, tantôt dramatique, portée par des décors qui flattent l’oeil mais savent aussi jouer l’épure, la scénographie n’est pas celle du provocateur que l’on a parfois connu mais d’un amoureux transi face à une oeuvre colossale.
    La suite de l’article sur le site de L’Echo. 
  • « Das Rheingold » de Wagner à la Monnaie : grandiose, captivant, effrayant
    Immersion dans la mythologie du « Ring » de Wagner à la Monnaie, avec le premier volet de sa tétralogie. Au cœur de cette proposition, une mise en scène de Romeo Castellucci remplie de symboles. Et une distribution et un orchestre pleinement investis. Avant même que les premières notes ne résonnent, Das Rheingold, dans la version imaginée par Romeo Castellucci à La Monnaie, est un cérémonial. Une succession d’images fortes. Grandioses. Symboliques. Mythologiques même. Prenant le spectateur à la gorge. Comme Wagner semble l’avoir l’imaginé.
    La suite de l’article sur le site du Soir

  • Le fabuleux livre d’images de « L’Or du Rhin »
    Romeo Castellucci n’a nulle envie de se contenter d’illustrer le livret au premier degré. Paradoxe ? Même s’il refuse le premier degré et revendique la place de son imaginaire, l’Italien a un tel sens de l’image, du tableau et du cadrage, de la symétrie et de l’esthétique que, comme pour son Tannhäuser de Munich et Salzbourg, sa mise en scène est aussi et avant tout un formidable livre d’images nourri de quelques idées fortes. Des images d’une beauté soufflante et parfois même émouvante, qui défilent sous les yeux éblouis du spectateur avec une bande son de haut vol – ce n’est pas par hasard que Castellucci dit voir en Wagner l’inventeur du cinéma.
    La suite de l’article dans La Libre.

  • Romeo Castellucci et son « Or du Rhin » magistral et transcendant, à Bruxelles
    Un noir comme un sang d’encre. Dans le silence pétrifié tombe des cintres un immense anneau d’or dont la longue oscillation percussive (amplifiée) ira s’accélérant jusqu’à l’immobilisation dans un fracas sec. Du ventre des contrebasses peut s’émouvoir le mi-bémol grave des origines. Déjà, le prélude de L’Or du Rhin déborde du lit de la fosse, qui s’illumine de l’intérieur : 136 mesures modulant l’accord de mi-bémol majeur qui ouvre le prologue des trois journées scéniques que seront La Walkyrie, Siegfried et Le Crépuscule des dieux. Cela faisait plus de trente ans que le flot de la Tétralogie wagnérienne n’avait pas envahi La Monnaie de Bruxelles, qui offre à Romeo Castellucci son premier « Ring ».Le directeur musical de l’Orchestre de La Monnaie, Alain Altinoglu, a déjà conduit dans la fosse bruxelloise Lohengrin (en 2018), Tristan (en 2019) et Parsifal (en 2022). Il dirige avec une fougue sensuelle, une fluidité et une finesse qui honorent la partition.
    La suite de l’article sur le site du journal Le Monde

  • Un Or du Rhin évocateur emballe l’opéra de Bruxelles
    Cela faisait trente-deux ans que la Monnaie de Bruxelles ne s’était pas lancée dans la Tétralogie de Wagner. Nous y voilà : pour sa fin de mandat, le directeur Peter de Caluwe fera du Ring l’événement des quatre prochaines années. À en juger par le sourire du public en quittant le Théâtre royal après le prologue, L’Or du Rhin, c’est bien parti ! À la mise en scène : Romeo Castellucci, qui avait montré ses affinités wagnériennes sur la même scène bruxelloise, avec son mémorable Parsifal de 2011. On a vu des Ring mythologiques, réalistes, politiques, psychologiques, historiques, actuels. Celui de Castellucci sera poétique. Plasticien autant qu’homme de théâtre, le créateur italien ne raconte pas une histoire avec un début, un milieu et une fin, mais procède par associations mentales et visuelles. Elles sont parfois surprenantes, souvent évocatrices, toujours éloquentes.
    La suite de l’article sur le site du journal Le Figaro

 

  • Met ‘Das Rheingold’ heeft de Munt goud in hand
    L’article sur le site du journal Standaard
  • Alla Monnaie è iniziato il “Ring” di Romeo Castellucci
    La tetralogia wagneriana è partita con un Rheingold tra luci e ombre
    L’article sur le site du Giornale della musica
  • Oper : Der Götter Ende ist der Menschen Glück
    L’article sur le site du Süddeutsche Zeitung